"Laurent Contamin, l'auteur de Brèches, est absent de la photo, cela ne veut pas dire qu’il n’était pas là – à l’endroit où le temps se feuillette déjà ; il est dans les marges, là où ça se désagrège (la langue contaminée).
Voilà ce qu’il observe, cette friction, qui n’est pas simplement le surgissement du poème, non, car déjà ce poème est ravalé par les idiomes du bizness mondialisé, redigéré par ces nomades du recyclage (bavard) et recraché par une barbarie aux multiples visages."
Ronan Cheviller, Esperluette, Jet FM, 3 avril 2012 > podcaster l'interview